- schoqMembre expert
Fabrication d'une roulotte style australienne (DIY)
Lun 09 Sep 2019, 14:54
Au courant de l'été nous avons communiqué avec Michel Fortin pour lui demander de nous parler de son projet d'auto-construction de sa petite roulotte de style australienne, qu'il a fabriquée à partir d'une boîte de camionnette et que nous avions remarquée sur Facebook.
C'est avec amabilité que Michel a accepté de nous faire part de ses commentaires et de son expérience, et qu'il nous a remis un document exhaustif de 67 pages !!! Oui, oui de 67 pages. S.V.P. soyez indulgents, car la langue usuelle de Michel est l'anglais. Il se peut très bien que malgré les corrections faites par notre équipe, que de petites erreurs d’interprétations ont échappées à notre attention . Merci de votre compréhension.
Nous allons donc publier le document en question en plusieurs parties pour que cela soit plus facile à suivre.
Michel nous a fait part qu'il sera disponible pour répondre à vos questions au besoin.
NOTER : **Tous les droits de ce document appartiennent à Michel Fortin.
Donc voici la Première partie
Bonjour,
Je m’appelle Michel Fortin, je suis originaire d’Ontario, plus précisément de la région de Niagara et cela fait sept (7) ans que je vis maintenant dans la ville de Québec. Je suis militaire de profession qui a été muté à Valcartier. J’ai été invité ici pour parler du projet de remorque hors-route nommée « Frontrailer », provenant du nom du Nissan Frontier, ainsi que du mot « Trailer », qui signifie remorque en anglais.
En premier, j’aimerais vous parler des origines qui m’ont poussé à faire du camping maintenant? D’après mes parents, j’en ai fait étant bébé. Je me souviens que nous louions des tentes-roulottes. Avec le temps, mes parents ont trouvé que les locations étaient rendues trop chères, alors nous avons changé pour faire du camping en tente, une pour mes parents et une pour moi et ma petite sœur. Rendus plus vieux avec plus d’équipements et un chien, mes parents ont acheté une petite roulotte de marque Elite de 19 pieds, avec laquelle nous avons beaucoup voyagé. Je dirais que l’on a fait presque tous les parcs provinciaux en Ontario. La roulotte a été vendue à mon cousin quand moi et ma sœur étions rendus plus vieux avec des emplois, car cela était devenu trop difficile de prendre de longues vacances d’été en famille. Mes parents sont saisonniers dans un parc de roulottes qui est situé à environ 30-40 minutes de chez eux, cela à l’époque était pratique pour tout le monde pour passer même après une journée de travail pour relaxer et se rafraîchir. Cela fait quand même longtemps, une quinzaine d’années facilement qu’ils font du camping de cette façon. J’ai aussi fait beaucoup de camping quand j’étais dans les Scouts et avec l’armée, si on peut appeler ça du camping dans l’armée…
C’est au printemps 2008 que j’ai acheté mon Nissan Xterra, 2003 suralimenté (d’origine) avec transmission manuelle, une combinaison beaucoup moins commune et difficile à trouver dans le temps. Il y en avait juste trois (3) sur AutoTrader.ca dans toute la province d’Ontario. J’empruntais le kit de camping de mes parents pour commencer à en faire avec des amis. Mes parents n’aimaient pas trop que j’utilise leur bonne tente. Pendant ce temps, je m’étais fait une blonde dont nous utilisions la sienne, mais à la fin de l’été, on ne se voyait plus et c’est là où j’ai décidé que je m’en achèterais une pour moi. C’est, entre temps, où j’ai appris l’existence des RTT (« roof-top-tent » ou « tente-de-toit »). Une compagnie locale, Titan Winch, les vendais, mentionnant qu’elles étaient fabriquées dans la même usine que les tentes ARB. J’y suis allé pour en voir une en personne et tombé en amour avec l’idée. Avec toutes les autres façons que j’ai fait du camping, je trouvais ça différent et génial! J’ai acheté une des dernières qu’il avait en main, surtout qu’il avait mentionné que le prix allait monter quand même pas mal dans sa commande de l’année suivante. La fin de semaine du Congé de la fête du Travail, j’ai monté dans le coin de Minden pour l’évènement « Adventure Weekend », organisé par le club CNTC Canadian Nissan Truck Club, avec mon Xterra sans aucunes modifications et une tente de toit montée dessus. J’ai eu tellement de plaisir avec un groupe très sympathique. C’est de là que j’ai commencé à modifier mon camion pour avoir plus de capacité hors route.
En route pour Adventure Weekend. Mon Xterra en 2008 et derrière Ron avec son Frontier qui n’avait aucune idée qu’un jour cela deviendra une remorque hors route.
Même si jamais bien mon RTT, je voyais déjà le gros défaut, c’est à dire le fait qu’elle immobilise le véhicule. Comme, par exemple, à un évènement du style Adventure Weekend, il fallait que je démonte le RTT à tous les matins et la remettre à tous les soirs, mais ce n’était pas si pire. Pour moi, mon Xterra allait tellement bien hors route, que je me suis dit qu’une remorque en utilisant la même base sûrement suivrait très bien hors route elle aussi, non? Le Xterra était bâti sur la plateforme de leur camion le Nissan Frontier, alors un fait avec une boîte de Frontier sera une bonne idée? Mais cette idée restera une idée au fond du cerveau pendant plusieurs années et j’ai continué à modifier mon Xterra et en utilisant mon RTT sur elle directement. Ma vie a changé beaucoup avec les années, où j’ai perdu mon emploi comme technicien d’équipements médicaux durant la crise économique de 2009 et passé un an ou c’était un mélange de ne pas travailler ou je faisais des petits jobs pour survivre et à peine payer les paiements de mon camion. Cet emploi et celui d’avant où je travaillais comme technicien de systèmes de communication mobiles nécessitait que je m’absente pour des mois à la fois pour travailler (Virginie, Floride et un peu au nord de l’Ontario) alors je ‘vivais’ encore chez mes parents, mais cela a tout pris quand même. Désespéré, pour faire un gros changement dans ma vie, de la foi dans mon cœur et avec des fausses promesses du recruteur, j’ai entré dans l’armée en février 2010. J’avais quand même demandé à mes parents en premier, surtout que nous avions perdu ma sœur dans un accident d’auto à la fin de l’année 2007. Ils ont dit oui et c’est là que j’ai su que mon père avait essayé d’entrer dans ce domaine aussi, mais avait été refusé en raison de problèmes de vision.
Au lieu d’entrer comme Caporal direct comme promis, j’ai fait mes 4 années somme Soldat. Cela fait mal à entrer dans l’armée à 29 ans à ce salaire là avec les dettes que j’avais accumulées durant mon année précédente, c’était difficile, surtout avec les problèmes de paie que j’ai eu les deux premières années qui a juste ajouté aux malheurs. Quand même passionné de véhicules, même si j’en connaissais beaucoup, merci à un bon mécano et beaucoup de lecture sur internet et les forums, mon expérience, pour faire les réparations par moi-même des véhicules, autre que les affaires électriques et électroniques, était peu. Ce fut là que je me suis dit, que si je continu ma passion, que c’était le temps que je me salisse les mains et que je fasse les travaux moi-même. Au moins, je possédais déjà un quand même bon kit d’outils pour commencer, surtout grâce aux bons spéciaux de Canadian Tire.
Après avoir été balloté de droite à gauche, en terminant mon premier cours de carrière, comme métier de Signaleur/Transmissions, suivi par ma première mutation à Valcartier, à devoir choisir entre Petawawa et Edmonton, car j’ai la famille dans le coin et j’avais trouvé Petawawa un peu plate pour le temps que j’ai passé là. Après quelques années passées à Québec et dans le moins d’un an qui me restait dans mon contrat dans l’armée où je pensais de ne pas signer mon renouvellement et crisser mon camp, car je m’étais fait une blonde et elle aussi aimait faire du camping. C’est là où j’ai découvert qu’à deux et avec notre style de camping, le RTT sur le véhicule était rendu pas tant pratique. En plus, notre relation commençait à être plus sérieuse, alors j’ai sorti mon idée de remorque à base de camion Nissan Frontier de son hibernation profonde.
Le printemps et l’été 2013 j’ai recherché pendant des mois pour un camion. Je n’avais pas un trop gros budget, mais les camions à $2500 étaient très pourris et/ou trop vieux et ceux en bon état frôlaient les $10 000. Quelques bons « deals » ont passé, mais trop loin pour aller les voir. Je vérifiais aussi les cours à « scrape » pour au moins trouver juste une boîte. Celles que je voulais pour ce projet étaient entre 2001-2004, pour le style, mais aussi avoir plus de pièces de rechange pour mon Xterra. J’ai su plus tard que le 2001 n’est pas comme les 02-04, même si le style extérieur est identique, mais en fait basé sur les 98-01 qui ont des petites différences. Je voulais aussi spécifiquement celle avec la boîte courte pour faire une place pour du rangement en avant dans les dimensions maximales de la remorque que j’avais calculées. Je travaillais les plans et les idées de la remorque dans ma tête. Dans ce temps-là, mon ami Ron du club CNTC avait toujours son Frontier 2001, mais cela faisait quelques années qu’il restait stationné à rien faire chez lui. Son état n’était pas si pire de vue et gérable pour le prix, mais imagine aussi que j’avais aucune idée dans quoi je m’embarquais non plus. C’était quand même drôle, car c’était le camion que j’avais basé toutes mes idées, surtout car il était jaune. Mon unité m’a envoyé à Kingston pour (finalement) mon 2ième cours de métier (DP 1.1) et j’étais donc rendu assez proche pour aller le voir et le chercher. Le plan était de l’acheter pour $2000 et de le remonter à Québec pour faire les travaux, mais dans les semaines avant le camion ne voulait plus partir et il voulait le « scraper ». J’ai dit non, je n’ai pas besoin que ça parte ! Alors j’ai descendu avec une auto de location avec ma plaque de mon Xterra pour faire un appel au CAA pour faire remorquer mon « Nissan Frontier 2003 jaune » chez ma grand-mère en Niagara. C’est le garage où j’entreposais mon auto d’été dans le temps et c’était aussi la place où j’ai fait le gros travail de démonter mon vieux Mazda MX-3 quand j’ai décidé de le vendre en pièces pour rentabiliser dans mon argent investi.
(Mx-3 and Frontier photo)
Je faisais des allers retours à chaque fin de semaines. Une à Québec pour être avec ma blonde et l’autre à Niagara pour voir mes amis et ma famille, ainsi que pour travailler sur le Frontier. Au début, je pensais de le remorquer jusqu’à Québec. J’avais même des amis qui s’étaient porté volontaire de le monter au prix du fuel, car ils avaient des trucks diesel, mais à la fin, nous avions décidé de faire la base de remorque en Ontario et de la remonter à Québec quand je serai redescendu à Noël. Comme je ne savais pas souder et que mon père n’était pas équipé à la maison pour en faire (retraité comme mécanicien de chantier) nous avons alors engagé quelqu’un pour le faire. Cela était surtout la partie d’apprendre à souder sur cette partie essentielle et risquer que cela se défasse et cause un accident qui m’inquiétait. Mes parents ont fait le tour durant la semaine chez deux places locales qui fabriquaient des remorques sur mesure. Le premier était un peu louche et ne comprenait pas l’idée. Le deuxième un vieux monsieur qui était sympathique et était partant! Au début le plan de match était de modifier le cadre (frame) d’origine, mais c’était fortement déconseillé de souder du neuf sur du vieux mais plutôt de recommencer à neuf, alors j’ai écouté son conseil et allé dans cette direction. La prochaine étape était de le démonter au plus vite. Avec de l’aide de mes amis, mon père et des torches de mon cousin, nous avons fait le gros démontage dans une journée, surtout merci à la belle température du sud de l’Ontario en novembre (qui me manque). Tout a bien été, excepté que mon père a mis feu à une des lumières arrière avec la torche. J’étais un peu déçu en enlevant le recouvrement de plastique de découvrir que le plancher de la boîte était plus pourri que ce que l’on croyait. Toutes les pièces importantes prêtes, il fallait juste attendre pour la base de remorque à bâtir sous peu. Je serai de retour à Noël pour la chercher. Mes vacances de Noël viennent et vont, le cadre de la remorque n’est même pas commencé; mis de côté pour un job/projet pour son fils. J’explique, que je ne suis pas à côté et la prochaine fois que je descends ce sera durant ma semaine de relâche, qui est la semaine avant celle de l’Ontario. Il faut que cela soit fini pour cette semaine-là. Nous avons déposé les pièces nécessaires chez lui pour la construction, l’essieu, suspension, une section du cadre avec le treuil pour le pneu de secours et le réservoir d’essence chez lui. Mon cours à Kingston était fini juste avant le congé de Noël, alors je retourne directement à Québec.
Durant ce temps, ma grand-mère a eu un accident, elle a eu la colonne brisée, elle ne sentait plus ses jambes. Elle était hospitalisée et ma mère et ma tante pensaient la placer dans un foyer, ce qui voulait dire de devoir vendre sa maison. Elles ne savaient pas quand, mais cela voulait dire qu’il fallait tout nettoyer ce qui était à moi dans le garage à ma grand-mère, quand je descendrais durant la semaine de relâche, à 100%, pas le choix. Heureusement, mon bon chum Fred s’était porté volontaire pour descendre avec nous pour me donner un coup de main et pratiquer son anglais (blague sur lui, ma famille parle français) et avec des longues journées et quelques voyages à la cours à « scrape », tout fut nettoyé. J’ai tout gardé rangé dans des boîtes et dans un coin en attente que mon père fasse de la place dans son garage. Vers la fin de la semaine tout était prêt et moi, ma blonde et Fred passés pour aider à monter la boîte sur le cadre et faire le filage pour les lumières. Aussi, durant ce temps, la soudeuse Lincoln Mig-Pak 180 était en vente à Canadian Tire. Merci à de l’argent pour ma fête (qui est en février), un bon montant d’argent CT et un rabais, merci à ma tante qui travaille là, je pars aussi à Québec avec une soudeuse en main, et zéro connaissance comment l’utiliser. En Ontario, il faut la plaquer avant de partir, mais drôlement, au lieu de la plaquer au nom de mon père, le MTO pouvait me faire une plaque avec mon vieux numéro de permis d’Ontario!
Les mois suivants, j’ai passé mes fins de semaines à avancer sur des travaux sur la remorque. Première étape fut de monter le réservoir d’essence. Quelque chose qui m’énerve dans la vie et ce pourquoi j’essaie de faire tout moi-même, est quand je demande quelque chose à quelqu’un et qu’il ne le fait pas comme je l’avais demandé, surtout un service payé. Je sais des fois c’est un peu complexe des idées, mais cette fois, je ne pense pas? Une affaire qui ne fut pas fait durant la construction initiale était ça. À cause que c’était parti du cadre, je suis allé parler avec les gars de Précision Custom pour faire la modification. J’ai déjà fait affaire avec eux pour mon Xterra et j’aimais bien leur travail, mais le prix était un peu haut. Ils m’ont estimé un $800 pour le faire. C’est là que j’ai décidé que c’était le temps que j’embarque dans du soudage de métal. Une place où j’aime bien acheter mon métal, c’est à Joly chez Reginal & Cer Turmel. Ils sont situés près de la belle-mère et sont très sympathiques, en plus ils ne chargent par coupes! Avant de continuer à écrire, il faut que je dise merci à ma belle-mère Gracia pour m’avoir laissé utiliser son garage pour ce projet. Je l’avais demandé en avance et il n’y avait pas de problèmes en autant que ce n’était pas durant l’hiver, car elle stationne son auto dans son garage. Elle est équipée avec un compresseur et une prise 220v. Le reste du temps elle ne se servait pas tant de son garage. Le père à ma blonde était décédé d’un problème de cœur un an ou deux avant que j’aie perdu ma sœur, alors elle était toute seule. En prenant mon temps et avec des amis qui me donnaient leurs conseils sur ma technique de soudage, par des photos que je publiais sur Facebook, la modification était complétée! Avec même pas $40 en métal, ce n’était pas juste fait et fait à mon goût, mais la soudeuse venait juste de se payer par elle-même après sa première vraie utilisation!
Fin de la partie un !
**Tous les droits de ce document appartiennent à Michel Fortin.
C'est avec amabilité que Michel a accepté de nous faire part de ses commentaires et de son expérience, et qu'il nous a remis un document exhaustif de 67 pages !!! Oui, oui de 67 pages. S.V.P. soyez indulgents, car la langue usuelle de Michel est l'anglais. Il se peut très bien que malgré les corrections faites par notre équipe, que de petites erreurs d’interprétations ont échappées à notre attention . Merci de votre compréhension.
Nous allons donc publier le document en question en plusieurs parties pour que cela soit plus facile à suivre.
Michel nous a fait part qu'il sera disponible pour répondre à vos questions au besoin.
NOTER : **Tous les droits de ce document appartiennent à Michel Fortin.
Donc voici la Première partie
Bonjour,
Je m’appelle Michel Fortin, je suis originaire d’Ontario, plus précisément de la région de Niagara et cela fait sept (7) ans que je vis maintenant dans la ville de Québec. Je suis militaire de profession qui a été muté à Valcartier. J’ai été invité ici pour parler du projet de remorque hors-route nommée « Frontrailer », provenant du nom du Nissan Frontier, ainsi que du mot « Trailer », qui signifie remorque en anglais.
En premier, j’aimerais vous parler des origines qui m’ont poussé à faire du camping maintenant? D’après mes parents, j’en ai fait étant bébé. Je me souviens que nous louions des tentes-roulottes. Avec le temps, mes parents ont trouvé que les locations étaient rendues trop chères, alors nous avons changé pour faire du camping en tente, une pour mes parents et une pour moi et ma petite sœur. Rendus plus vieux avec plus d’équipements et un chien, mes parents ont acheté une petite roulotte de marque Elite de 19 pieds, avec laquelle nous avons beaucoup voyagé. Je dirais que l’on a fait presque tous les parcs provinciaux en Ontario. La roulotte a été vendue à mon cousin quand moi et ma sœur étions rendus plus vieux avec des emplois, car cela était devenu trop difficile de prendre de longues vacances d’été en famille. Mes parents sont saisonniers dans un parc de roulottes qui est situé à environ 30-40 minutes de chez eux, cela à l’époque était pratique pour tout le monde pour passer même après une journée de travail pour relaxer et se rafraîchir. Cela fait quand même longtemps, une quinzaine d’années facilement qu’ils font du camping de cette façon. J’ai aussi fait beaucoup de camping quand j’étais dans les Scouts et avec l’armée, si on peut appeler ça du camping dans l’armée…
C’est au printemps 2008 que j’ai acheté mon Nissan Xterra, 2003 suralimenté (d’origine) avec transmission manuelle, une combinaison beaucoup moins commune et difficile à trouver dans le temps. Il y en avait juste trois (3) sur AutoTrader.ca dans toute la province d’Ontario. J’empruntais le kit de camping de mes parents pour commencer à en faire avec des amis. Mes parents n’aimaient pas trop que j’utilise leur bonne tente. Pendant ce temps, je m’étais fait une blonde dont nous utilisions la sienne, mais à la fin de l’été, on ne se voyait plus et c’est là où j’ai décidé que je m’en achèterais une pour moi. C’est, entre temps, où j’ai appris l’existence des RTT (« roof-top-tent » ou « tente-de-toit »). Une compagnie locale, Titan Winch, les vendais, mentionnant qu’elles étaient fabriquées dans la même usine que les tentes ARB. J’y suis allé pour en voir une en personne et tombé en amour avec l’idée. Avec toutes les autres façons que j’ai fait du camping, je trouvais ça différent et génial! J’ai acheté une des dernières qu’il avait en main, surtout qu’il avait mentionné que le prix allait monter quand même pas mal dans sa commande de l’année suivante. La fin de semaine du Congé de la fête du Travail, j’ai monté dans le coin de Minden pour l’évènement « Adventure Weekend », organisé par le club CNTC Canadian Nissan Truck Club, avec mon Xterra sans aucunes modifications et une tente de toit montée dessus. J’ai eu tellement de plaisir avec un groupe très sympathique. C’est de là que j’ai commencé à modifier mon camion pour avoir plus de capacité hors route.
En route pour Adventure Weekend. Mon Xterra en 2008 et derrière Ron avec son Frontier qui n’avait aucune idée qu’un jour cela deviendra une remorque hors route.
Même si jamais bien mon RTT, je voyais déjà le gros défaut, c’est à dire le fait qu’elle immobilise le véhicule. Comme, par exemple, à un évènement du style Adventure Weekend, il fallait que je démonte le RTT à tous les matins et la remettre à tous les soirs, mais ce n’était pas si pire. Pour moi, mon Xterra allait tellement bien hors route, que je me suis dit qu’une remorque en utilisant la même base sûrement suivrait très bien hors route elle aussi, non? Le Xterra était bâti sur la plateforme de leur camion le Nissan Frontier, alors un fait avec une boîte de Frontier sera une bonne idée? Mais cette idée restera une idée au fond du cerveau pendant plusieurs années et j’ai continué à modifier mon Xterra et en utilisant mon RTT sur elle directement. Ma vie a changé beaucoup avec les années, où j’ai perdu mon emploi comme technicien d’équipements médicaux durant la crise économique de 2009 et passé un an ou c’était un mélange de ne pas travailler ou je faisais des petits jobs pour survivre et à peine payer les paiements de mon camion. Cet emploi et celui d’avant où je travaillais comme technicien de systèmes de communication mobiles nécessitait que je m’absente pour des mois à la fois pour travailler (Virginie, Floride et un peu au nord de l’Ontario) alors je ‘vivais’ encore chez mes parents, mais cela a tout pris quand même. Désespéré, pour faire un gros changement dans ma vie, de la foi dans mon cœur et avec des fausses promesses du recruteur, j’ai entré dans l’armée en février 2010. J’avais quand même demandé à mes parents en premier, surtout que nous avions perdu ma sœur dans un accident d’auto à la fin de l’année 2007. Ils ont dit oui et c’est là que j’ai su que mon père avait essayé d’entrer dans ce domaine aussi, mais avait été refusé en raison de problèmes de vision.
Au lieu d’entrer comme Caporal direct comme promis, j’ai fait mes 4 années somme Soldat. Cela fait mal à entrer dans l’armée à 29 ans à ce salaire là avec les dettes que j’avais accumulées durant mon année précédente, c’était difficile, surtout avec les problèmes de paie que j’ai eu les deux premières années qui a juste ajouté aux malheurs. Quand même passionné de véhicules, même si j’en connaissais beaucoup, merci à un bon mécano et beaucoup de lecture sur internet et les forums, mon expérience, pour faire les réparations par moi-même des véhicules, autre que les affaires électriques et électroniques, était peu. Ce fut là que je me suis dit, que si je continu ma passion, que c’était le temps que je me salisse les mains et que je fasse les travaux moi-même. Au moins, je possédais déjà un quand même bon kit d’outils pour commencer, surtout grâce aux bons spéciaux de Canadian Tire.
Après avoir été balloté de droite à gauche, en terminant mon premier cours de carrière, comme métier de Signaleur/Transmissions, suivi par ma première mutation à Valcartier, à devoir choisir entre Petawawa et Edmonton, car j’ai la famille dans le coin et j’avais trouvé Petawawa un peu plate pour le temps que j’ai passé là. Après quelques années passées à Québec et dans le moins d’un an qui me restait dans mon contrat dans l’armée où je pensais de ne pas signer mon renouvellement et crisser mon camp, car je m’étais fait une blonde et elle aussi aimait faire du camping. C’est là où j’ai découvert qu’à deux et avec notre style de camping, le RTT sur le véhicule était rendu pas tant pratique. En plus, notre relation commençait à être plus sérieuse, alors j’ai sorti mon idée de remorque à base de camion Nissan Frontier de son hibernation profonde.
Le printemps et l’été 2013 j’ai recherché pendant des mois pour un camion. Je n’avais pas un trop gros budget, mais les camions à $2500 étaient très pourris et/ou trop vieux et ceux en bon état frôlaient les $10 000. Quelques bons « deals » ont passé, mais trop loin pour aller les voir. Je vérifiais aussi les cours à « scrape » pour au moins trouver juste une boîte. Celles que je voulais pour ce projet étaient entre 2001-2004, pour le style, mais aussi avoir plus de pièces de rechange pour mon Xterra. J’ai su plus tard que le 2001 n’est pas comme les 02-04, même si le style extérieur est identique, mais en fait basé sur les 98-01 qui ont des petites différences. Je voulais aussi spécifiquement celle avec la boîte courte pour faire une place pour du rangement en avant dans les dimensions maximales de la remorque que j’avais calculées. Je travaillais les plans et les idées de la remorque dans ma tête. Dans ce temps-là, mon ami Ron du club CNTC avait toujours son Frontier 2001, mais cela faisait quelques années qu’il restait stationné à rien faire chez lui. Son état n’était pas si pire de vue et gérable pour le prix, mais imagine aussi que j’avais aucune idée dans quoi je m’embarquais non plus. C’était quand même drôle, car c’était le camion que j’avais basé toutes mes idées, surtout car il était jaune. Mon unité m’a envoyé à Kingston pour (finalement) mon 2ième cours de métier (DP 1.1) et j’étais donc rendu assez proche pour aller le voir et le chercher. Le plan était de l’acheter pour $2000 et de le remonter à Québec pour faire les travaux, mais dans les semaines avant le camion ne voulait plus partir et il voulait le « scraper ». J’ai dit non, je n’ai pas besoin que ça parte ! Alors j’ai descendu avec une auto de location avec ma plaque de mon Xterra pour faire un appel au CAA pour faire remorquer mon « Nissan Frontier 2003 jaune » chez ma grand-mère en Niagara. C’est le garage où j’entreposais mon auto d’été dans le temps et c’était aussi la place où j’ai fait le gros travail de démonter mon vieux Mazda MX-3 quand j’ai décidé de le vendre en pièces pour rentabiliser dans mon argent investi.
(Mx-3 and Frontier photo)
Je faisais des allers retours à chaque fin de semaines. Une à Québec pour être avec ma blonde et l’autre à Niagara pour voir mes amis et ma famille, ainsi que pour travailler sur le Frontier. Au début, je pensais de le remorquer jusqu’à Québec. J’avais même des amis qui s’étaient porté volontaire de le monter au prix du fuel, car ils avaient des trucks diesel, mais à la fin, nous avions décidé de faire la base de remorque en Ontario et de la remonter à Québec quand je serai redescendu à Noël. Comme je ne savais pas souder et que mon père n’était pas équipé à la maison pour en faire (retraité comme mécanicien de chantier) nous avons alors engagé quelqu’un pour le faire. Cela était surtout la partie d’apprendre à souder sur cette partie essentielle et risquer que cela se défasse et cause un accident qui m’inquiétait. Mes parents ont fait le tour durant la semaine chez deux places locales qui fabriquaient des remorques sur mesure. Le premier était un peu louche et ne comprenait pas l’idée. Le deuxième un vieux monsieur qui était sympathique et était partant! Au début le plan de match était de modifier le cadre (frame) d’origine, mais c’était fortement déconseillé de souder du neuf sur du vieux mais plutôt de recommencer à neuf, alors j’ai écouté son conseil et allé dans cette direction. La prochaine étape était de le démonter au plus vite. Avec de l’aide de mes amis, mon père et des torches de mon cousin, nous avons fait le gros démontage dans une journée, surtout merci à la belle température du sud de l’Ontario en novembre (qui me manque). Tout a bien été, excepté que mon père a mis feu à une des lumières arrière avec la torche. J’étais un peu déçu en enlevant le recouvrement de plastique de découvrir que le plancher de la boîte était plus pourri que ce que l’on croyait. Toutes les pièces importantes prêtes, il fallait juste attendre pour la base de remorque à bâtir sous peu. Je serai de retour à Noël pour la chercher. Mes vacances de Noël viennent et vont, le cadre de la remorque n’est même pas commencé; mis de côté pour un job/projet pour son fils. J’explique, que je ne suis pas à côté et la prochaine fois que je descends ce sera durant ma semaine de relâche, qui est la semaine avant celle de l’Ontario. Il faut que cela soit fini pour cette semaine-là. Nous avons déposé les pièces nécessaires chez lui pour la construction, l’essieu, suspension, une section du cadre avec le treuil pour le pneu de secours et le réservoir d’essence chez lui. Mon cours à Kingston était fini juste avant le congé de Noël, alors je retourne directement à Québec.
Durant ce temps, ma grand-mère a eu un accident, elle a eu la colonne brisée, elle ne sentait plus ses jambes. Elle était hospitalisée et ma mère et ma tante pensaient la placer dans un foyer, ce qui voulait dire de devoir vendre sa maison. Elles ne savaient pas quand, mais cela voulait dire qu’il fallait tout nettoyer ce qui était à moi dans le garage à ma grand-mère, quand je descendrais durant la semaine de relâche, à 100%, pas le choix. Heureusement, mon bon chum Fred s’était porté volontaire pour descendre avec nous pour me donner un coup de main et pratiquer son anglais (blague sur lui, ma famille parle français) et avec des longues journées et quelques voyages à la cours à « scrape », tout fut nettoyé. J’ai tout gardé rangé dans des boîtes et dans un coin en attente que mon père fasse de la place dans son garage. Vers la fin de la semaine tout était prêt et moi, ma blonde et Fred passés pour aider à monter la boîte sur le cadre et faire le filage pour les lumières. Aussi, durant ce temps, la soudeuse Lincoln Mig-Pak 180 était en vente à Canadian Tire. Merci à de l’argent pour ma fête (qui est en février), un bon montant d’argent CT et un rabais, merci à ma tante qui travaille là, je pars aussi à Québec avec une soudeuse en main, et zéro connaissance comment l’utiliser. En Ontario, il faut la plaquer avant de partir, mais drôlement, au lieu de la plaquer au nom de mon père, le MTO pouvait me faire une plaque avec mon vieux numéro de permis d’Ontario!
Les mois suivants, j’ai passé mes fins de semaines à avancer sur des travaux sur la remorque. Première étape fut de monter le réservoir d’essence. Quelque chose qui m’énerve dans la vie et ce pourquoi j’essaie de faire tout moi-même, est quand je demande quelque chose à quelqu’un et qu’il ne le fait pas comme je l’avais demandé, surtout un service payé. Je sais des fois c’est un peu complexe des idées, mais cette fois, je ne pense pas? Une affaire qui ne fut pas fait durant la construction initiale était ça. À cause que c’était parti du cadre, je suis allé parler avec les gars de Précision Custom pour faire la modification. J’ai déjà fait affaire avec eux pour mon Xterra et j’aimais bien leur travail, mais le prix était un peu haut. Ils m’ont estimé un $800 pour le faire. C’est là que j’ai décidé que c’était le temps que j’embarque dans du soudage de métal. Une place où j’aime bien acheter mon métal, c’est à Joly chez Reginal & Cer Turmel. Ils sont situés près de la belle-mère et sont très sympathiques, en plus ils ne chargent par coupes! Avant de continuer à écrire, il faut que je dise merci à ma belle-mère Gracia pour m’avoir laissé utiliser son garage pour ce projet. Je l’avais demandé en avance et il n’y avait pas de problèmes en autant que ce n’était pas durant l’hiver, car elle stationne son auto dans son garage. Elle est équipée avec un compresseur et une prise 220v. Le reste du temps elle ne se servait pas tant de son garage. Le père à ma blonde était décédé d’un problème de cœur un an ou deux avant que j’aie perdu ma sœur, alors elle était toute seule. En prenant mon temps et avec des amis qui me donnaient leurs conseils sur ma technique de soudage, par des photos que je publiais sur Facebook, la modification était complétée! Avec même pas $40 en métal, ce n’était pas juste fait et fait à mon goût, mais la soudeuse venait juste de se payer par elle-même après sa première vraie utilisation!
Fin de la partie un !
**Tous les droits de ce document appartiennent à Michel Fortin.
- schoqMembre expert
Deuxième partie du projet de Michel Fortin
Mar 24 Sep 2019, 15:07
C'est avec amabilité que Michel a accepté de nous faire part de ses commentaires et de son expérience, et qu'il nous a remis un document exhaustif de 67 pages !!! Oui, oui de 67 pages. S.V.P. soyez indulgents, car la langue usuelle de Michel est l'anglais. Il se peut très bien que malgré les corrections faites par notre équipe, que de petites erreurs d’interprétations ont échappées à notre attention . Merci de votre compréhension.
Nous allons donc publier le document en question en plusieurs parties pour que cela soit plus facile à suivre.
Michel nous a fait part qu'il sera disponible pour répondre à vos questions au besoin.
NOTER : **Tous les droits de ce document appartiennent à Michel Fortin.
Donc voici la Deuxième partie de son projet
Nous allons donc publier le document en question en plusieurs parties pour que cela soit plus facile à suivre.
Michel nous a fait part qu'il sera disponible pour répondre à vos questions au besoin.
NOTER : **Tous les droits de ce document appartiennent à Michel Fortin.
Donc voici la Deuxième partie de son projet
Les prochains mois, je passe toutes mes fins de semaines à avancer sur des travaux sur la remorque. Première étape, monter le réservoir d’essence. Quelque chose qui m’énerve dans la vie et pourquoi j’essaie de tout faire par moi-même, est quand je demande quelque chose à quelqu’un et qu’il ne le fait pas tel que je l’avais demandé; surtout lorsqu’il s’agit d’un service payé. Je sais, parfois, c’est un peu complexe des idées, mais dans ce cas-ci je ne pense pas. Une affaire qui ne fut pas faite durant la construction initiale était ça. À cause que c’était parti du cadre, je suis allé en discuter avec les gars de Précision Custom pour faire la modification. J’ai déjà fait affaire avec eux pour mon Xterra et j’aimais bien leur travail, mais le prix était un peu élevé. Ils m’ont estimé un montant de $800 pour le travail. C’est à partir de là, que j’ai décidé qu’il était temps que j’embarque dans la soudure du métal. Une place où j’aime bien acheter mon métal, c’est à Joly chez Reginal & Cer Turmel. Ils sont situés près de ma belle-mère et ils sont très sympathiques, en plus, ils ne chargent par coupes ! Avant de continuer à écrire, il faut que je remercie ma belle-mère Gracia, pour m’avoir laissé utiliser son garage pour ce projet. Je lui avais demandé en avance et il n’y avait aucun problème, en autant que ce n’était pas durant l’hiver, car elle stationne son auto dans son garage. Elle est équipée avec un compresseur et une prise 220v. Le reste du temps, elle ne se servait pas tant de son garage. Le père à ma blonde est décédé d’un problème de cœur un an ou deux avant que je perde ma sœur, alors elle était tout seule. En prenant mon temps et avec des amis qui me donnait leurs conseils sur ma technique de soudure, par des photos que je mettais sur Facebook, la modification était complétée! Avec même pas $40 en métal, ce n’était pas juste fait et à mon goût, mais la soudeuse venait juste de se payer d’elle-même, après sa première vraie utilisation!
Les mois qui suivirent, j’ai continué de travailler avec constance sur la remorque, en fabriquant le système pour lever le couvert en fibre, qui allait supporter le poids de la tente. Ma blonde Edith m’avait donné un gros coup de main avec la fibre de verre. Elle était super à faire des gâteaux et je lui avais expliqué la tâche en la comparant à faire du crémage. Au début, elle riait de moi, mais à la fin, elle a admis que j’avais raison. Il y eu un point sur lequel je me rappelle d’avoir dit à ma blonde. Je lui avais dit que j’avais l’impression que quelque chose me disait de me dépêcher à avancer sur le projet et mon instinct avait eu raison. À deux semaines d’avis, j’ai su que j’allais commencer mon prochain cours à Kingston (DP 2.1 Mod 1) et ce sera pour l’été au complet. La partie la plus intéressante, est que ma blonde et moi allions déménager ensemble le 1er juillet, alors il fallait que je range mon appartement pour le déménagement AVANT que je quitte pour Kingston. Avec la remorque en construction, j’avais aussi le devant de mon Xterra démonté pour changer le support de radiateur. Avec les jours de congé de relocalisation, j’ai été capable d’en faire une grande partie, mais il m’en manquerait un peu. J’ai descendu à Kingston avec mon Rx-8 à la fin de mai et suis revenu pour le déménagement. J’ai eu à peine assez de temps pour déménager et de rassembler le camion et la remorque. J’ai quitté assez tard la dernière journée, que j’ai dû dormir dans mon camion dans un arrêt de camionneur et je suis arrivé le lendemain matin avec assez de temps pour me préparer pour ma journée.
Au cours de l’été à Kingston, j’ai travaillé à faire le système électrique mieux adapté pour monter et descendre le toit et aussi connecter la remorque pour recharger la batterie à partir du véhicule tracteur. J’ai aussi fait affaire avec une compagnie locale, qui fait des toiles de bateau sur mesure, pour confectionner une toile qui irait entre la boîte et le couvert. La toile terminée juste à temps et plus chère que prévu, j’ai ramassé la remorque chez Quinte Canvas Manufacturing (Top Shop) et continué ma route directement, pour sa première utilisation, c’est-à-dire, pour aller faire du camping, au Canadian Tire Motorsports Park (Motorsport) avec mes amis.
Le prochain achat a été l’auvent. En faisant des recherches, je suis tombé en amour avec le modèle WA02 de Sunday Campers, mais j’étais inquiet de me faire avoir en effectuant un achat directement avec une compagnie chinoise, mais pour le prix et pour l’avoir, j’ai passé ma commande. Un mois plus tard, elle était arrivée ! Aussi j’étais à la veille de partir en exercice et de laisser la remorque chez Précision Custom, pour ajouter des points de montage pour des amortisseurs et aussi pour descendre les supports en avant pour les lames. Une autre chose que j’avais demandé dans la construction initiale du cadre. Triste à dire, mais Précision Custom a fait faillite, c’est donc les derniers travaux que j’ai fait faire chez eux.
Mais avant leur fermeture, j’ai eu la chance de faire un test avec leur rampe de flexibilité avec la remorque. Vous voyez le montage du pneu de secours sur le derrière de la remorque? Il s’agit d’un support de pneu de secours, que j’ai envisagé de transférer entre le Xterra et Frontrailer, mais en plus de ne pas être tant pratique pour l’utilisation de la zone de cuisine en arrière de la remorque, il était aussi trop lourd sur l’arrière de cette dernière, occasionnant une conduite un peu dangereuse.
Cet été-là, j’ai commencé à mettre du poids en avant. J’ai trouvé un réservoir d’eau de 60L avec presque les mêmes dimensions de mon réservoir à essence et bâti un support pour l’installer sous la remorque. Un autre ajout étant un tube d’extension pour être capable de monter l’auvent. Elle glisse sur le tuyau du rack d’origine, alors aucun soudage nécessaire.
Et, bien sûr, un premier test de l’auvent dans les prochains jours!
On s’est rendu compte, qu’il y avait un problème à installer les côtés de l’auvent. Elle était montée trop à l’intérieur de la remorque, alors le mur suivait la forme de la remorque et elle devenait trop courte pour pouvoir l’installer correctement.
Ensuite, le prochain problème, fut de régler la lumière. Je ne voulais pas toujours avoir de besoin des lampes et quelque chose d’intégré. J’ai donc commandé des rubans DEL de DX.com et fait mes propres montages sur les sections des poteaux visibles et les ai couverts avec une gaine thermo rétractable transparente pour les protéger.
Les mois qui suivirent, j’ai continué de travailler avec constance sur la remorque, en fabriquant le système pour lever le couvert en fibre, qui allait supporter le poids de la tente. Ma blonde Edith m’avait donné un gros coup de main avec la fibre de verre. Elle était super à faire des gâteaux et je lui avais expliqué la tâche en la comparant à faire du crémage. Au début, elle riait de moi, mais à la fin, elle a admis que j’avais raison. Il y eu un point sur lequel je me rappelle d’avoir dit à ma blonde. Je lui avais dit que j’avais l’impression que quelque chose me disait de me dépêcher à avancer sur le projet et mon instinct avait eu raison. À deux semaines d’avis, j’ai su que j’allais commencer mon prochain cours à Kingston (DP 2.1 Mod 1) et ce sera pour l’été au complet. La partie la plus intéressante, est que ma blonde et moi allions déménager ensemble le 1er juillet, alors il fallait que je range mon appartement pour le déménagement AVANT que je quitte pour Kingston. Avec la remorque en construction, j’avais aussi le devant de mon Xterra démonté pour changer le support de radiateur. Avec les jours de congé de relocalisation, j’ai été capable d’en faire une grande partie, mais il m’en manquerait un peu. J’ai descendu à Kingston avec mon Rx-8 à la fin de mai et suis revenu pour le déménagement. J’ai eu à peine assez de temps pour déménager et de rassembler le camion et la remorque. J’ai quitté assez tard la dernière journée, que j’ai dû dormir dans mon camion dans un arrêt de camionneur et je suis arrivé le lendemain matin avec assez de temps pour me préparer pour ma journée.
Au cours de l’été à Kingston, j’ai travaillé à faire le système électrique mieux adapté pour monter et descendre le toit et aussi connecter la remorque pour recharger la batterie à partir du véhicule tracteur. J’ai aussi fait affaire avec une compagnie locale, qui fait des toiles de bateau sur mesure, pour confectionner une toile qui irait entre la boîte et le couvert. La toile terminée juste à temps et plus chère que prévu, j’ai ramassé la remorque chez Quinte Canvas Manufacturing (Top Shop) et continué ma route directement, pour sa première utilisation, c’est-à-dire, pour aller faire du camping, au Canadian Tire Motorsports Park (Motorsport) avec mes amis.
Le prochain achat a été l’auvent. En faisant des recherches, je suis tombé en amour avec le modèle WA02 de Sunday Campers, mais j’étais inquiet de me faire avoir en effectuant un achat directement avec une compagnie chinoise, mais pour le prix et pour l’avoir, j’ai passé ma commande. Un mois plus tard, elle était arrivée ! Aussi j’étais à la veille de partir en exercice et de laisser la remorque chez Précision Custom, pour ajouter des points de montage pour des amortisseurs et aussi pour descendre les supports en avant pour les lames. Une autre chose que j’avais demandé dans la construction initiale du cadre. Triste à dire, mais Précision Custom a fait faillite, c’est donc les derniers travaux que j’ai fait faire chez eux.
Mais avant leur fermeture, j’ai eu la chance de faire un test avec leur rampe de flexibilité avec la remorque. Vous voyez le montage du pneu de secours sur le derrière de la remorque? Il s’agit d’un support de pneu de secours, que j’ai envisagé de transférer entre le Xterra et Frontrailer, mais en plus de ne pas être tant pratique pour l’utilisation de la zone de cuisine en arrière de la remorque, il était aussi trop lourd sur l’arrière de cette dernière, occasionnant une conduite un peu dangereuse.
Cet été-là, j’ai commencé à mettre du poids en avant. J’ai trouvé un réservoir d’eau de 60L avec presque les mêmes dimensions de mon réservoir à essence et bâti un support pour l’installer sous la remorque. Un autre ajout étant un tube d’extension pour être capable de monter l’auvent. Elle glisse sur le tuyau du rack d’origine, alors aucun soudage nécessaire.
Et, bien sûr, un premier test de l’auvent dans les prochains jours!
On s’est rendu compte, qu’il y avait un problème à installer les côtés de l’auvent. Elle était montée trop à l’intérieur de la remorque, alors le mur suivait la forme de la remorque et elle devenait trop courte pour pouvoir l’installer correctement.
Ensuite, le prochain problème, fut de régler la lumière. Je ne voulais pas toujours avoir de besoin des lampes et quelque chose d’intégré. J’ai donc commandé des rubans DEL de DX.com et fait mes propres montages sur les sections des poteaux visibles et les ai couverts avec une gaine thermo rétractable transparente pour les protéger.
Avec de plus en d’accessoires électriques, j’ai embarqué dans le projet de me faire mon propre support pour ma batterie et aussi pour me permettre d’en mettre plus qu’une.
Maintenant que la batterie fut descendue plus bas, j’ai pu faire la construction d’une étagère pour me permettre de mieux mettre des affaires en avant. Le plan initial consistait en une boîte, mais comme je n’étais pas équipé pour faire de l’aluminium, je me disais que ce serait uniquement temporaire. Drôlement à la fin, je l’aime vraiment et la trouve très pratique!
Inclus dans le montage, j’ai fait une place pour monter une bonbonne de propane de 20lbs. Je ne suis pas 100% satisfait de cette partie-là, alors c’est à revoir dans le futur.
Et un 2ième étage, bien utilisé pour mettre le pneu de secours en avant.
La peinture même pas complètement sèche, on l’a déjà bien utilisée ! On descend pour Mosport dans les prochains jours!
Arrivé et installé. Un peu sur une pente, mais la vue est bonne, surtout de la tente!
Avec l’auvent et le réservoir d’eau, on commençait de jouer avec des montages pour y faire une douche
Cette nuit-là, nous avons eu droit à une bonne tempête. Normalement, le personnel de la piste de course nous avertissait, mais, pas cette fois-là, car il s’agissait d’une tempête qui émanait des récentes tornades. Moi, étant à la veille de me coucher, j’étais dans l’auvent en train de faire une dernière vérification, car il mouillassait un peu et ma blonde était déjà dans la tente. La tempête dans toute sa force a tombé sur nous, en un instant, sans avertissements. Moi je tenais le poteau qui était accoté sur le RTT et ma blonde était sur la partie suspendue de la tente, car les vents furent assez violents, qu’ils ont essayé de la fermer sur elle! L’affaire intéressante, fut que nous nous situions à 1-2 pieds de chacun et on ne s’entendait à peine crier l’un et l’autre. Cela m’aurait stressé de briser mon nouvel auvent, lors de notre première sortie, mais, j’ai pensé, que le fait que nous avions les côtés installés, a empêché que le vent le soulève par en dessous. Depuis cette tempête, je mets toujours une attache de l’échelle du RTT au véhicule.
Notre prochain voyage de l’année et le plus gros pour le Frontrailer, fut à l’est du Canada. Avec une petite modification de dernière minute.
En se dirigeant vers Meat Cove, avec les côtes de Pleasant Bay, il a fallu que j’arrête. Je commençais à sentir les freins chauffer. En fait, la remorque n’avait pas encore ses propres freins. Dans un temps normal, cela n’aurait pas causé de problème, mais là, c’était un peu trop avec tout ce poids et ces longues côtes à descendre.
En arrivant à Meat Cove, le terrain étant presque plein, on m’a suggéré d’aller faire du camping sur la plage. Bonne idée, mais j’aurais dû rester sur les roches, car j’ai callé dans le sable. Nous avons donc perdu l’après-midi à se sortir de cette fâcheuse situation.
Maintenant que la batterie fut descendue plus bas, j’ai pu faire la construction d’une étagère pour me permettre de mieux mettre des affaires en avant. Le plan initial consistait en une boîte, mais comme je n’étais pas équipé pour faire de l’aluminium, je me disais que ce serait uniquement temporaire. Drôlement à la fin, je l’aime vraiment et la trouve très pratique!
Inclus dans le montage, j’ai fait une place pour monter une bonbonne de propane de 20lbs. Je ne suis pas 100% satisfait de cette partie-là, alors c’est à revoir dans le futur.
Et un 2ième étage, bien utilisé pour mettre le pneu de secours en avant.
La peinture même pas complètement sèche, on l’a déjà bien utilisée ! On descend pour Mosport dans les prochains jours!
Arrivé et installé. Un peu sur une pente, mais la vue est bonne, surtout de la tente!
Avec l’auvent et le réservoir d’eau, on commençait de jouer avec des montages pour y faire une douche
Cette nuit-là, nous avons eu droit à une bonne tempête. Normalement, le personnel de la piste de course nous avertissait, mais, pas cette fois-là, car il s’agissait d’une tempête qui émanait des récentes tornades. Moi, étant à la veille de me coucher, j’étais dans l’auvent en train de faire une dernière vérification, car il mouillassait un peu et ma blonde était déjà dans la tente. La tempête dans toute sa force a tombé sur nous, en un instant, sans avertissements. Moi je tenais le poteau qui était accoté sur le RTT et ma blonde était sur la partie suspendue de la tente, car les vents furent assez violents, qu’ils ont essayé de la fermer sur elle! L’affaire intéressante, fut que nous nous situions à 1-2 pieds de chacun et on ne s’entendait à peine crier l’un et l’autre. Cela m’aurait stressé de briser mon nouvel auvent, lors de notre première sortie, mais, j’ai pensé, que le fait que nous avions les côtés installés, a empêché que le vent le soulève par en dessous. Depuis cette tempête, je mets toujours une attache de l’échelle du RTT au véhicule.
Notre prochain voyage de l’année et le plus gros pour le Frontrailer, fut à l’est du Canada. Avec une petite modification de dernière minute.
En se dirigeant vers Meat Cove, avec les côtes de Pleasant Bay, il a fallu que j’arrête. Je commençais à sentir les freins chauffer. En fait, la remorque n’avait pas encore ses propres freins. Dans un temps normal, cela n’aurait pas causé de problème, mais là, c’était un peu trop avec tout ce poids et ces longues côtes à descendre.
En arrivant à Meat Cove, le terrain étant presque plein, on m’a suggéré d’aller faire du camping sur la plage. Bonne idée, mais j’aurais dû rester sur les roches, car j’ai callé dans le sable. Nous avons donc perdu l’après-midi à se sortir de cette fâcheuse situation.
Pour ajouter au malheur, le vent s’est levé avant le montage de l’auvent et nous l’avons mal déployé. Il a pogné dans le vent et les pentures ont brisé.
Et pour continuer les surprises, durant le voyage, pendant le jour de route le plus long, qui fut le retour de Halifax à Témiscouata, des verrous de roues ont lâché. Heureusement, les pièces étaient disponibles chez le concessionnaire Nissan, qui lui était par chance ouvert le samedi, mais le matin seulement, alors il ne fallait pas niaiser. Nous les avons changés dans un stationnement de NAPA (ouverts jusqu’à 17h) au cas où, pendant que ma blonde faisait le dîner. Nous avons continué la route et monté la tente et uniquement la tente, cette nuit-là.
Après notre voyage et pour continuer les modifications et avec le succès des DEL’s montés dans l’auvent, je voulais faire une configuration semblable dans la RTT.
Et avec les bandes de DELs installées à l’intérieur, je ne voulais pas uniquement installer une boîte avec seulement un dégradateur pour ajuster l’intensité de la lumière, mais aussi insérer un autre circuit et interrupteur, pour contrôler une lignée de DELs posés à l’extérieur, sous la RTT.
Un défaut de mettre une RTT sur une remorque, surtout une avec une suspension très flexible comme la mienne et le mouvement dans le sens que plie le RTT, est que des pattes stabilisatrices seront nécessaires. J’avais commandé une paire de pattes BAL C de 31 pouces, les plus longues, mais elles étaient trop grosses pour ce que je voulais comme installation. J’ai finalement trouvé une idée compacte, flexible et qui se range très bien.
Aussi merci à un achat de groupe en travaillant avec Métaux JXJ, nous avons fait faire une attache remorque hors-route. Inspirée par le Max Couper, mais basée sur les plans du « TSC Coupler ».
Et pour continuer les surprises, durant le voyage, pendant le jour de route le plus long, qui fut le retour de Halifax à Témiscouata, des verrous de roues ont lâché. Heureusement, les pièces étaient disponibles chez le concessionnaire Nissan, qui lui était par chance ouvert le samedi, mais le matin seulement, alors il ne fallait pas niaiser. Nous les avons changés dans un stationnement de NAPA (ouverts jusqu’à 17h) au cas où, pendant que ma blonde faisait le dîner. Nous avons continué la route et monté la tente et uniquement la tente, cette nuit-là.
Après notre voyage et pour continuer les modifications et avec le succès des DEL’s montés dans l’auvent, je voulais faire une configuration semblable dans la RTT.
Et avec les bandes de DELs installées à l’intérieur, je ne voulais pas uniquement installer une boîte avec seulement un dégradateur pour ajuster l’intensité de la lumière, mais aussi insérer un autre circuit et interrupteur, pour contrôler une lignée de DELs posés à l’extérieur, sous la RTT.
Un défaut de mettre une RTT sur une remorque, surtout une avec une suspension très flexible comme la mienne et le mouvement dans le sens que plie le RTT, est que des pattes stabilisatrices seront nécessaires. J’avais commandé une paire de pattes BAL C de 31 pouces, les plus longues, mais elles étaient trop grosses pour ce que je voulais comme installation. J’ai finalement trouvé une idée compacte, flexible et qui se range très bien.
Aussi merci à un achat de groupe en travaillant avec Métaux JXJ, nous avons fait faire une attache remorque hors-route. Inspirée par le Max Couper, mais basée sur les plans du « TSC Coupler ».
Le fait que le RTT ouvre sur le côté passager est parfait pour les fois où l’on fait du camping urbain. Nous avons dormi chez des amis pour l’action de grâce. Nous avons tiré une extension et mis une chaufferette en céramique, pour nous garder au chaud. Juste de l’avoir au minimum était parfait même si ça frôlait les 0 degrés. Je pense que l’idée de chauffer le RTT peut bien fonctionner!
Avant de l’entreposer pour l’hiver, je voulais passer à une station de pesée de camions, pour connaître son poids, car j’en avais aucune idée.
Lors de nos visites chez mes parents en Ontario, à Noël, nous allons toujours faire notre tournée chez Princess Auto. Celui à St Catharines venait tout juste d’ouvrir. En passant, j’avais vu des « Jerry Can » style militaire et je m’étais dit qu’il s’agissait d’un très bon prix. J’en ai donc ramassé deux ! Rendu à la caisse, le prix ne fut pas du tout le même, presque $50, si je me souviens bien. J’ai donc pris en photo l’étiquette pour la madame à la caisse, comme preuve et j’ai eu les deux au prix indiqué sur l’étiquette. J’étais tellement content, que j’ai décidé d’en prendre deux au lieu d’uniquement un !
Aussi, pour Noël, j’avais demandé à mon père, comme cadeau, de me faire un kit de soudure d’urgence. Cela faisait, entre autres, partie de notre commission à Princess Auto. Mon père connaissait le concept, mais ne l’avait jamais fait, alors il voulait essayer ça!
Au printemps, je me suis porté volontaire, pour sortir ma remorque de bonne heure, à participer à une séance de photos pour un article sur 4x4setup Magazine, pour l’attache remorque. Tout a bien été, mais c’est en revenant de là, pas loin de chez nous, que mes freins ne voulurent pas tant fonctionner. J’étais content que la lumière soit verte, car je n’aurais pas été capable d’arrêter à temps. C’est de là, que j’ai eu un petit réveil et que c’était le temps de monter la modification et de faire fonctionner les freins sur la remorque, plus haut sur la liste des tâches à faire.
Mais déjà, ce qui m’attendait pour être installé, était une chaufferette au sans-plomb Webasto. Je l’avais achetée localement chez Pro-Tach Québec. Oui, pas mal plus chère, mais je voulais le support, d’autant plus que je n’avais jamais touché à ça autre que dans nos camions militaires. Cela a toujours été mon rêve d’avoir du chauffage dans mon RTT et de faire du camping l’hiver et c’était finalement à la veille d’arriver, mais aussi nous étions en train de faire des recherches pour acheter une maison. Au moins, j’avais tout l’été pour l’installer.
Pas longtemps après l’achat de notre maison, nous avons planifié un voyage en Ontario, pour visiter ma famille avec la belle-sœur et son chum et leur cousin. Le beau-frère suivant en moto. C’était le temps parfait pour remonter des affaires de chez mes parents à mon nouveau chez moi. Nous allions aussi faire du camping en chemin pour sauver des frais d’hôtels. L’auvent et la RTT installés sur le Xterra pour le voyage, car je retournais avec une remorque U-Haul. Tout était conçu pour être échangeable entre le Xterra et Frontrailer.
Si vous vous souvenez aussi que nous avions brisé les pentures de l’auvent pendant notre voyage à l’est, je les avais remplacées avec des pentures de Rhino Rack temporairement. Cela avait pris du temps, mais j’avais commandé et reçu les pentures Super Flex de Darsche en Australie. Le problème ne devrait plus se reproduire !
Le setup tout déployé sur le Xterra
Et notez, que l’auvent est très reculé. Cela est nécessaire pour que les murs s’éloignent du pare-chocs en arrière, afin d’être en mesure de bien installer les murs.
Pour continuer les travaux sur la remorque durant l’été, j’ai fait l’installation de la chaufferette Wabasto. Je voulais aussi l’enfermer dans une boîte pour la protéger et j’ai eu l’idée de modifier un coffre d’outils. C’était beaucoup moins cher et plus pratique que celle vendue spécifiquement pour ça. Je manquais aussi des adaptateurs pour les tuyaux, que j’ai commandés de www.heatso.com
Fin de la partie deux !
**Tous les droits de ce document appartiennent à Michel Fortin.
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